La France, marché préféré des investisseurs en centres commerciaux

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La France arrive en tête des marchés de centres commerciaux préférés des investisseurs en Europe, selon le nouveau rapport de recherche publié par Savills en partenariat avec Oxford Economics. Le rapport place la France comme première destination d’investissement, suivie par l’Allemagne, le Royaume-Uni, la Belgique et la Pologne.
L’étude se base sur cinq critères clés pour les 18 marchés européens étudiés, parmi lesquels les perspectives de ventes, la volatilité du PIB sur 15 ans, et le volume des dépenses de consommation.
La France arrive ainsi en tête de tableau, grâce à sa stabilité économique, la faible volatilité du PIB et la croissance des ventes anticipée à +2,7% par an entre 2011 et 2016. Les loyers des centres commerciaux prime s’y élèvent actuellement à 2 000 €/m2/an.
La Pologne, qui occupe la cinquième place, serait, selon Savills « le marché susceptible d’enregistrer la plus forte croissance, en raison des probables hausses de dépenses de consommation, mais aussi d’un essor démographique rapide. Ses perspectives commerciales sont parmi les meilleures des pays étudiés, avec une croissance moyenne de +5,16% (contre une moyenne européenne de +2,2%) entre 2011 et 2016, et un stock de centres commerciaux limité à 214 m2 pour 1 000 habitants.

KP Solar, le premier clé-en-main avec centrale solaire intégrée

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KP1, groupe industriel français spécialisé dans le béton précontraint, et Urbasolar, lancent un nouveau bâtiment clé-en-main, avec centrale photovoltaïque intégrée : KP Solar. Conçu par les ingénieurs de KP1 et Urbasolar, KP Solar est un nouveau système constructif unique et breveté, à haute efficacité énergétique, qui combine éléments photovoltaïques et structures du bâtiment. « Pour répondre aux contraintes des entreprises désireuses de s’installer dans des zones d’activités réglementées, la toiture de ce bâtiment a une inclinaison de 10%, ce qui est extrêmement rare avec les panneaux photovoltaïques », explique KP1. Ce concept se décline en deux bâtiments : KP Sola, adapté aux activités commerciales ; et KP Volta, pour les activités industrielles.

Lutte contre les commerces vides: des députés veulent donner plus de pouvoir aux maires

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Les maires doivent avoir plus de moyens pour lutter contre les commerces vides -vacance des baux commerciaux- selon des députés, qui veulent aussi encadrer la hausse des loyers commerciaux en rendant obligatoire une option prévue par la loi.
 »De la simple verrue au sein d’une artère commerçante à la multiplication des rideaux baissés et des vitrines à l’abandon avec la crise, le développement de véritables petites friches commerciales n’est pas contestable », écrit Daniel Fasquelle (UMP) dans un rapport présenté mercredi.
Ce document s’inquiète aussi de la « tertiarisation » des centre-villes (les banques ou les agences immobilières remplaçant les commerces de proximité, qui partent dans des grandes surfaces en périphérie).
Le rapport suggère de rendre obligatoire une disposition de la loi de modernisation de l’économie (LME) de 2008 pour lutter contre l’envol des loyers commerciaux: utiliser comme référence l’indice des loyers commerciaux (ILC) et supprimer la référence à l’indice des coûts à la consommation (ICC).
Pourquoi?

« Entre 2000 et 2006, l’ICC a augmenté de 32% tandis que le chiffre d’affaires moyens des commerces évoluait de 18% », selon le rapport d’une mission d’information.
Le document suggère aussi d’aller plus loin qu’une loi de 2005 pour renforcer le pouvoir de préemption des maires sur les locaux commerciaux: « en cas de préemption par la commune sur les fonds de commerce et les baux commerciaux, instaurer la possibilité de mettre en location-gérance le commerce avant la rétrocession du fonds à une entreprise ».
Les élus suggèrent aussi « l’instauration d’un manageur de centre-ville » au sein du personnel municipal pour jouer « le rôle d’intermédiaire entre les commerçants et la municipalité ». Ils proposent en outre de mieux encadrer la pratique des « baux dérogatoires » d’une période de deux ans. — (AFP)

TVA et immobilier

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La TVA est un impôt indirect qui frappe tous les biens et services que nous consommons. L’immobilier n’échappe pas à cette taxe, avec bien sûr des spécificités et des exceptions. Explications.

La taxe sur la valeur ajoutée, ou TVA, est un impôt général sur la consommation qui frappe tous les biens et services consommés ou utilisés en France.

Lorsque vous dînez au restaurant, que vous achetez une paire de chaussures ou bien que vous allez chez le coiffeur, vous payez un prix TTC. C’est donc bien vous, consommateur final, qui la supportez mais c’est le vendeur ou le prestataire de services qui va la reverser aux services fiscaux. C’est la raison pour laquelle on parle d’impôt indirect.

Si la TVA est appréhendée et perçue assez facilement sur les biens de consommation (une voiture, un canapé ou une baguette de pain), les choses apparaissent souvent plus compliquées lorsque l’on touche au domaine immobilier. Les sommes en jeu sont beaucoup plus importantes, et en la matière, on ne se sent pas consommateur. L’application de la TVA n’apparaît pas évidente. D’ailleurs, jusqu’à la réforme de la TVA de l’année dernière, l’immobilier faisait l’objet d’un traitement particulier et on parlait de TVA immobilière.

Désormais, l’immobilier est soumis aux règles de droit commun de la TVA, avec le grand principe selon lequel sont soumises à TVA les opérations réalisées par des assujettis. Cette réforme de mars 2010 a entraîné plusieurs conséquences importantes pour les achats de logements.

Nous allons donc passer en revue les opérations et transactions que vous êtes amené à réaliser en matière de logements et pour chacune d’elles, vous donner les règles de TVA applicables : la TVA s’applique-t-elle ? Comment est-elle calculée ? Qui la doit ?

Les personnes assujetties

Les personnes assujetties à TVA sont celles qui réalisent à titre habituel des opérations rentrant dans le champ d’application de la TVA. Ce sont donc des professionnels et les particuliers ne sont pas concernés. Cela signifie qu’en principe, lorsque vous vendez ou louez un logement, il n’est pas question de TVA.

En revanche, un promoteur, un marchand de biens, un constructeur de maisons individuelles ou un aménageur lotisseur sont des professionnels assujettis à TVA, de même que les collectivités territoriales. Ce peut être également un agriculteur ou bien même une société civile immobilière (SCI). Les opérations qu’ils réalisent entrent dans le champ d’application de la TVA.

La déduction de la TVA

La TVA est un impôt particulier car comme nous l’avons vu, c’est un impôt indirect qui frappe le consommateur final mais qui est reversé par le vendeur.

En fait, la TVA frappe toute la chaîne de production d’un bien ou d’un service pour être payée au final par le consommateur. Chaque intervenant à la production reverse au fisc la TVA qu’il a collectée. Mais il déduit de la TVA collectée celle qu’il a lui même payée pour acheter ce bien, ou les matières premières nécessaires à sa fabrication.

Vous achetez une paire de chaussures au prix de 80 euros TTC. Le prix hors taxe s’élève, avec une TVA à 19,6%, à 80 x 0,836 = 66,88 euros. La TVA est donc de 13,12 euros. C’est le commerçant qui doit reverser la TVA au fisc. Mais il peut déduire celle qu’il a payée en amont lorsqu’il a lui-même acheté cette paire de chaussures au fabricant. Si le prix était de 40 euros TTC, il a payé en fait 6,66 euros de TVA. Il devra donc reverser au fisc : 13,12 – 6,66 = 6,66 euros de TVA.

Ce système de déduction s’applique dans tous les cas et bien évidemment aussi en immobilier. Lorsque vous faites construire votre maison et que vous signez un contrat de construction, le prix est un prix TTC. Le constructeur reverse au fisc la TVA que vous lui avez payée et déduit celle qu’il a lui-même payée pour acheter ses matériaux. Il en est de même pour vous lorsque vous revendez dans les 5 ans un logement que vous avez acheté sur plans.

Source : PAP

IPD : l’immobilier d’investissement génère un rendement global de 10 %

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L’immobilier d’investissement en France est désormais en nette reprise avec un rendement global de 10 %, porté par le retour de la croissance des valeurs de 4 % en 2010, selon l’indice annuel IPD de l’immobilier d’investissement en France. Cette croissance fait suite à une baisse des valeurs cumulée de -12,7 % sur les deux années précédentes. Le rendement global élevé de 2010 reste cependant en dessous des niveaux atteints avant 2008 et porte la performance moyenne sur les 3 dernières années à 2,4 % par an. Les secteurs qui enregistrent les meilleures performances en 2010 sont les commerces et les bureaux avec respectivement 11 % et 9,9 % de rendement global.

Auchan lance Auchan City à Tourcoing

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Dans le cadre du projet de redynamisation du centre-ville de Tourcoing, le groupe de grande distribution Auchan a inauguré hier, lundi, son premier magasin « Auchan City ». Spécialement pensé pour le centre ville de cette ancienne cité textile, l’hypermarché de proximité Auchan City Tourcoing proposera en majorité des produits frais, présentés comme sur un marché. Une large part des rayons sera consacrée aux produits locaux (en partenariat avec des producteurs de la région), ainsi qu’au bio (notamment le bio en vrac, une première chez Auchan).

Porté par Altacité, structure développée par Altaréa Cogedim, l’hypermarché urbain prend place au centre d’une toute nouvelle galerie marchande, l’espace Saint-Christophe, qui fait face à l’église du même nom. L’investissement global est de 62 M€, répartis entre Altaréa Cogedim, la Caisse des dépôts, Auchan, et la Communauté urbaine Lille Métropole. L’ensemble est déjà commercialisé à 95 %, et occupé en grande partie par des franchises C & A, Happy, Jeff de Bruges, Body Minute, Marionnaud, Subway, mais aussi à de nouveaux concepts (O’Sushi by Auchan, restauration rapide / Sushis, ou Myst’Hair, coiffeur). Construit au pied du pôle de transports multimodal Tourcoing Centre (métro, Tramway, train, bus, vélos partagés), et doté d’un parking de 760 places, le centre commercial cible une zone de chalandise de près de 700 000 habitants, et vise en année de croisière un chiffre d’affaires tout compris de 55 M€.

Sur une surface de près de 13 000 m² GLA, avec plus de 30 boutiques et restaurants ainsi que 5 salles de cinémas numériques 3D, le centre commercial ouvrira ses portes demain, mercredi. Son architecture est signée du cabinet Brunet Saunier Architecture. « Hypermarché nouvelle génération », l’enseigne Auchan City est amenée à se développer ailleurs, en France ou à l’étranger, toujours en cœur de ville des métropoles.

Tesco va créer des centres commerciaux en Chine

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Le groupe britannique Tesco, numéro quatre mondial de la distribution, a annoncé la création d’une nouvelle coentreprise dédiée à la création de centres commerciaux en Chine, qui va conforter sa stratégie de développement dans le pays. Cette coentreprise va développer trois centres adossés à des hypermarchés Tesco dans les villes de Shenyang (nord-est), Fuzhou et Xiamen (sud-est). Tesco détiendra 50% du capital et le reste appartiendra à un consortium dirigé par le groupe foncier singapourien Metro Holdings. Tesco précise que « la valeur totale du projet est d’environ 170 millions de livres » (soit environ 200 millions d’euros) et qu’il investira environ 30 millions de livres en capital, le reste étant financé par des emprunts bancaires. Cette nouvelle entreprise commune va permettre à Tesco d’accélérer son développement en Chine, marché auquel il s’est attaqué en 2004. Le groupe y gère déjà 93 hypermarchés et 12 supermarchés, plus quatre centres commerciaux sous l’enseigne Lifespace, dont trois dans le cadre d’une coentreprise lancée en 2009, et à laquelle Metro Holdings participait déjà. (AFP)

Règles strictes pour la rémunération de l’agent immobilier

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(AFP) – L’agent immobilier ne peut exiger d’être payé que s’il détenait, avant « toute négociation ou engagement », un mandat écrit du vendeur ou de l’acquéreur, a dit la Cour de cassation. La Cour, saisie de nombreux litiges en la matière, vient de préciser les conditions très strictes du droit des agents immobiliers à une rémunération. Ce mandat écrit antérieur doit préciser comment sera déterminée la rémunération ou la commission et quelle partie en aura la charge, ajoutent les juges. Ils excluent qu’une convention soit passée avec l’agent immobilier au moment de signer une offre d’achat ou une promesse de vente, et a fortiori lorsqu’une promesse de vente est déjà signée. Toutefois, si aucun mandat n’a été donné en temps utile, la Cour de cassation explique que vendeur ou acheteur peuvent encore décider, mais alors après la vente, de rémunérer l’agent immobilier. Si ces conditions posées par la loi en 1970 ne sont pas précisément respectées, disent encore les magistrats, tout engagement de rémunérer les services d’un agent immobilier est « dépourvu d’effet » car il n’y a pas, en ce domaine, « d’obligation naturelle ».

Immobilier d’entreprise : des perspectives positives pour 2011

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Selon les dirigeants de BNP Real Estate, la reprise importante sur le marché de la location et de l’investissement amorcée en 2010 devrait se poursuivre en 2011. Le bilan 2010 est positif jugent les dirigeants du groupe immobilier.

La hausse des transactions est de 30% sur les huit principaux marchés européens (Londres, Paris, Milan, Madrid, Berlin, Munich, Francfort et Bruxelles). En Ile de France, les transactions ont crû de 16%. A Paris intra muros, la progression est de 53%. « Cette augmentation s’explique par une disponibilité des produits et un réajustement des valeurs locatives » commente Philippe Zivkovic, président du directoire de BNP Paribas Real Estate.

Le marché de l’investissement en Europe est en hausse de 50% en volume. Plus de 12 milliards d’euros ont été investis uniquement en France, soit une augmentation de 49%. «Nous sommes loin du chiffre de 2007 qui était de 80 milliards d’euros d’actifs investis, mais le constat est encourageant». 40% des transactions dans l’hexagone se sont faites au cours du quatrième trimestre. «Il est intéressant de constater que nous avons de plus en plus un marché à deux vitesses» observe Philippe Zivkovic. D’un coté, des produits notés AAA, récents, bien placés sont très demandés mais peu nombreux et de l’autre coté des produits moins sécurisés, non primes, sont beaucoup moins recherchés mais beaucoup plus abondants. «Pour la première catégorie, les taux de rendement ont continué à baisser. A Londres, ils sont passés en un an de 5,5% en moyenne à 4%» précise Philippe Zivkovic.

On voit réapparaitre de manière plus importante des opérations au-delà de 100 millions d’euros. 31 transactions de plus de 100 millions d’euros ont été recensées contre 15 en 2009. «Le rendement des taux prime a là aussi baissé. Il est passé de 5% à 4,5% fin décembre» note M Zivkovic.

De bonnes perspectives pour 2011

Le processus de reprise dans l’immobilier d’entreprise a vocation à se poursuivre. «La croissance économique porte la demande placée, c’est indéniable. Cependant même en période de crise, il peut y avoir des mouvements d’entreprises significatifs» constate alors Thierry Laroue-Pont, responsable de BNP Paribas Real Estate Advisory (Transaction, Conseil, Expertise).

M Laroue-Pont compte donc sur l’économie de coûts pour créer du mouvement, non d’extension, mais de rationalisation. «Beaucoup de clients restent mal logés dans des immeubles obsolètes. Nous en sommes un parfait exemple. Nous avons quitté un immeuble des années 80 à Levallois qui avait vieilli. Nous avons rationalisé notre implantation et nous avons donné plus de services à nos salariés (auditorium, salles de réunion, crèches, fitness). Nous avons densifié le ratio mètre carré par collaborateur».

L’immobilier d’entreprise étant le deuxième poste après les salaires, il est ainsi un vecteur d’économie de coûts considérable.

La démarche se veut créatrice de valeur. L’immobilier d’entreprise étant le deuxième poste après les salaires, il est ainsi un vecteur d’économie de coûts considérable même lorsque la croissance n’est pas au rendez-vous. Le poids de la demande placée en public, parapublic joue par ailleurs un rôle moteur dans un pays comme la France. «Une politique vertueuse de l’Etat a été mise en place qui a permis de nombreux déplacements de mètres carré». France Domaine a donné une règle très précise aux administrations franciliennes, celui de ne pas s’implanter dans des locaux de plus de 400 euros du mètre pour une rationalisation en termes de mètre carré par fonctionnaire et de coût au mètre carré.

Des mises en chantier insuffisantes

Les bureaux en cours de construction ont atteint un niveau bas en 2010, à peine plus de 500 000 mètres carrés contre 1,3 million de mètres carrés fin 2008. Le niveau des mises en chantier a donc été divisé par 2.

«Ceci laisse augurer que dans certains segments de marché, nous devrions être en situation de rareté dans un horizon de court terme» signale Philippe Zivkovic.

«C’est là un véritable sujet. Si l’on considère l’appréciation des coûts de construction, nous sommes face à un problème potentiel important pour le marché d’ici deux ans» renchérit Thierry Laroue-Pont.

«Il faut que les acteurs du marché lancent de nouveaux chantiers, assument une prise de risque, avec un retour d’investissement qui est évident. Par ailleurs les coûts du foncier devront être adaptés à la baisse».

La France, marché préféré des investisseurs en centres commerciaux

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La France arrive en tête des marchés de centres commerciaux préférés des investisseurs en Europe, selon le nouveau rapport de recherche publié par Savills en partenariat avec Oxford Economics. Le rapport place la France comme première destination d’investissement, suivie par l’Allemagne, le Royaume-Uni, la Belgique et la Pologne. 

L’étude se base sur cinq critères clés pour les 18 marchés européens étudiés, parmi lesquels les perspectives de ventes, la volatilité du PIB sur 15 ans, et le volume des dépenses de consommation.
La France arrive ainsi en tête de tableau, grâce à sa stabilité économique, la faible volatilité du PIB et la croissance des ventes anticipée à +2,7% par an entre 2011 et 2016. Les loyers des centres commerciaux prime s’y élèvent actuellement à 2 000 €/m2/an.
La Pologne, qui occupe la cinquième place, serait, selon Savills « le marché susceptible d’enregistrer la plus forte croissance, en raison des probables hausses de dépenses de consommation, mais aussi d’un essor démographique rapide. Ses perspectives commerciales sont parmi les meilleures des pays étudiés, avec une croissance moyenne de +5,16% (contre une moyenne européenne de +2,2%) entre 2011 et 2016, et un stock de centres commerciaux limité à 214 m2 pour 1 000 habitants.